Avec le procès de l’homme qui se déroule en ce moment, nous avons droit à son visage à la télévision chaque jour, à ses provocations permanentes, les médias lui offrent une tribune dont il rêvait, et par la même donnent un sens (le sien) à la tuerie dont il est responsable.
Je ne supporte plus de découvrir les photos de ses victimes dans les journaux, tout comme de le voir se pavaner face caméra, plein d’arrogance, la provocation en guise de salut. Quel genre de société peut encore tolérer ça ? Quand on tue froidement autant de monde, on se prive de certains droits, ce devrait être un fait. Pas celui d’un procès, pas celui d’être jugé, de la justice bien sûr, mais ne peut-on imposer un minimum de pudeur ?
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Tuesday, 24 April 2012
De la pluie et des mots.
Figurez-vous que cette pluie qui nous tombe dessus sans discontinuer depuis plusieurs jours n'est pas pour déplaire aux auteurs dans mon genre...
C'est qu'elle arrange la pluie. Elle confine. Elle enferme dans le bureau. Elle teint le ciel d'une lumière de film d'horreur. Et au final, elle inspire.
Je suis derrière mon bureau pour encore quelques mois d'écriture, et profite d'un instant d'éclaircie pour vous saluer, ami(e)s lecteurs, car la pluie met de bonne humeur les auteurs. Il faut se le dire.
Moralité, lorsque vous regarderez la météo, la prochaine fois, avant de faire la tête en voyant des nuages s'amonceler, vous aurez une petite pensée pour vos auteurs préférés et pourrez vous dire : "certes demain je sors le parapluie, mais dans quelques mois j'aurais de la lecture...".
En ce qui me concerne, mon planning pourrait se résumer à un petit aperçu d'un coin de mon bureau ; ces prochains mois, je m'occupe de tout cela :
A très bientôt.
C'est qu'elle arrange la pluie. Elle confine. Elle enferme dans le bureau. Elle teint le ciel d'une lumière de film d'horreur. Et au final, elle inspire.
Je suis derrière mon bureau pour encore quelques mois d'écriture, et profite d'un instant d'éclaircie pour vous saluer, ami(e)s lecteurs, car la pluie met de bonne humeur les auteurs. Il faut se le dire.
Moralité, lorsque vous regarderez la météo, la prochaine fois, avant de faire la tête en voyant des nuages s'amonceler, vous aurez une petite pensée pour vos auteurs préférés et pourrez vous dire : "certes demain je sors le parapluie, mais dans quelques mois j'aurais de la lecture...".
En ce qui me concerne, mon planning pourrait se résumer à un petit aperçu d'un coin de mon bureau ; ces prochains mois, je m'occupe de tout cela :
A très bientôt.
